Ce dimanche 3 août, nous sommes allés à la fête des pirogues organisée au canal de Roubaix par la communauté Laotienne. Leur temple se trouve boulevard de Strasbourg. Nous avons apprécié : l’ambiance pleine de gaîté, la paix prégnante, l’organisation. Nous avons remarqué le clin d’œil à leur pays d’accueil avec une présence remarquable du bleu, blanc, rouge, les couleurs du drapeau français mis à l’honneur. Un bel exemple de comportement citoyen que tous les roubaisiens et roubaisiennes pourraient suivre pour un véritable « Vivre ensemble »..
Dans un courriel, le 19 juin 2025, j’ai commenté et relayé le message de Leïla Daquin « Un cri de désespoir pour sauver Le camion une association sur Roubaix qui occupe tout un public modeste ». Je vous avais proposé d’agir et bien sûr avec mon épouse nous avons montré l’exemple en adressant cette supplique au Président de notre Région :
Marie et Philippe DELANNOY Déposé le 23 juin 2025 à la Région59100 ROUBAIX
Monsieur Xavier Bertrand,Président de la Région les Hauts de France151, avenue du Président Hoover59595 LILLE Cedex
Sauver SVP le soldat « Le Camion » 7 rue Archimède, Roubaix
Monsieur le Président,
J’apprends que vos collaborateurs viennent de réduire de moitié la modeste subvention que la Région leur octroyait. De 11.000 € la voici rabotée à 5.500 €.
Elle reçoit 0 € du département, 12.000 € de la ville de Roubaix plus un financement pour la compensation du loyer. Il arrive que l’Etat participe à des manifestations organisées dans le cadre « des vacances pour tous ». Des adhésions à 10 € (la pauvreté du quartier oblige) et quelques dons du privé viennent compléter les modestes contributions. Franchement, je ne sais pas comment les 3 animateurs tiennent ! Deux vivent sur leur retraite me dit-on, le troisième, une jeune maman vit de petits contrats qu’elle enchaîne avec le chômage.
Vous le voyez, cette petite association au sein du quartier de l’Alma doit jongler avec ce peu pour maintenir ses activités. Activités qui s’adressent à tous les publics, du solitaire à la famille nombreuse, du retraité aux tous petits enfants. C’est dans cet esprit que l’association les invite à des ateliers de pratiques artistiques : peinture, dessin, sculpture, gravure, modelage ou à des activités de groupe : cours de couture et de chant, chorale, spectacle, concert, conférence, exposition, lieu de tournage pour les jeunes réalisateurs, …
Pour bien mesurer leur travail venez où envoyez vos collaborateurs le dimanche 29 juin dès 11 heures visiter l’exposition des élèves des divers ateliers. A 14 heures vous pourrez entendre la chorale du Camion. C’est gratuit pour tous.
Conscient dès lors de l’utilité de l’association « Le Camion » vous ne pourrez pas accepter que tout cet investissement humain soit stoppé par faute de moyens.
Merci de ce que vous pourrait faire pour rétablir la subvention au niveau de 2024, voire l’améliorer un peu.
Très respectueusement,
Marie et Philippe Delannoy : des habitants des quartiers de l’hommelet et de l’Alma à Roubaix.
Ni M. Xavier Bertrand, ni l’un de ses collaborateurs n’ont répondu à notre invitation. Nous n’avons pas eu d’accusé de réception au courrier. Nous ne pouvons pas penser que M. Xavier Bertrand puisse être insensible à notre courrier. Aussi nous pensons que le courrier ne lui a pas été remis en main propre. Si l’un de nos lecteurs avait une possibilité de l’approcher peut-il SVP lui remettre le courrier en main propre un grand merci.
Vous pouvez aussi lui écrire directement avec votre cœur la masse des interventions devrait opérer son effet. Vous pouvez aussi personnaliser à votre nom la pièce jointe.
Ce dimanche 3 août, nous sommes allés à la fête des pirogues organisée au canal de Roubaix par la communauté Laotienne. Leur temple se trouve boulevard de Strasbourg. Nous avons apprécié : l’ambiance pleine de gaîté, la paix prégnante, l’organisation. Nous avons remarqué le clin d’œil à leur pays d’accueil avec une présence remarquable du bleu, blanc, rouge, les couleurs du drapeau français mis à l’honneur. Un bel exemple de comportement citoyen que tous les roubaisiens et roubaisiennes pourraient suivre pour un véritable « Vivre ensemble ».
A Roubaix, nous sommes nombreux à penser que la diversité est une richesse. Hier, lundi de la Pentecôte, à une encablure du centre-ville, se tenait la braderie de l’Hommelet. Je l’ai parcouru et j’ai eu l’impression que cette diversité nous échappait.
A Roubaix vous pouvez côtoyer le pire comme le meilleur. Samedi 21 septembre 2024 au cours d’une marche sportive j’ai croisé le meilleur dans le quartier nord de Roubaix parc « Nouveau Monde ». Un jeune papa a pris en main les enfants et les ados de toute sa famille pour les initier au foot. Les téléphones sont mis de côté pendant ce temps. Sur ses deniers il a acheté du matériel (cônes, échelle de vitesse et d’agilité, mur de cible …) et il leur inculte le goût du sport ici le football. Bravo Monsieur Betterson et merci d’éduquer nos jeunes dans la discipline et l’effort. Puisse d’autres parents prendre exemple sur vous. Nota : M. Betterson m’a autorisé à publier les photos jointes.
Notre couple est à chaque fois époustouflé quand il se rend pour une soirée dans cette petite association de quartier nichée dans le quartier pauvre de l’Alma (7 rue Archimède). Comment cette petite équipe de bénévoles sans subvention complémentaire de la mairie pour les activités d’été, sans écho dans la presse peut organiser des soirées d’une telle qualité au milieu du mois d’août. Soirée tout public sans chichi. C’était le cas ce samedi 13.
Un couple de la Cie A Corpo nous offre une proposition danse/cirque pour imaginer un monde meilleur. Suit une scène ouverte où pendant deux heures se produisent de artistes en herbe : Thouryla, Eléonore, Anaïs, les jeunes danseuses Kenza et Julie puis des comédiens de rue : le duo Leïla / Anaïs, Lydie (auteur compositeur), Christian (Le mot et la chose), Fabien, Françoise (le corps), Nicolas et enfin deux musiciens aux talents exceptionnels Guillaume et Thomas (une oreille d’or). Tout public nous vous disions ; la concrétisation sera le chapeau des saltimbanques, chacun participe selon ses moyens.
Pour finir ceux qui le désirent se retrouvent pour un repas aux saveurs africaines pour la modique somme de 6 €. Un cadeau du cuisinier Saliou Dialli major de sa promo à la formation des métiers de l’hôtellerie.
Derrière toutes ces propositions se trouvent une famille généreuse : Arila, Nicolas, Leïla qui tire le diable par la queue mais à l’enthousiasme intact. Honneur à eux.
Ça tombe bien samedi prochain le 20 août vous pouvez les honorer. Une nouvelle soirée exceptionnelle vous est offerte à partir de 18 h. Le groupe Manouche « AL OVNI » vous propose son répertoire de la chanson française : Brassens, Claude Nougaro, Adamo, Sansévérino etc.Venez nombreux. A la suite du spectacle vous pourrez partager un repas Antillais si vous le désirez : participation 6 €.
Marie et Philippe passionnés du véritable « vivre ensemble » à Roubaix.
Pour connaître les événements futurs laissez votre adresse courriel ou votre numéro de téléphone à Nicolas Daquin : assolecamion@gmail.com
Avec un peu de recul, ce que pense un roubaisien de 80 ans de l’émission « Zone Interdite sur l’Islam radical à Roubaix ».
Il s’agit d’un reportage sur un sujet donné. Bien sûr que Roubaix ce n’est pas que cela mais ça en fait partie. Tout ce qui est positif n’était pas à l’ordre du jour. Il ne faut pas le reprocher à la journaliste. D’ailleurs, si vous voulez voir l’antithèse de ce reportage regarder la vidéo « Roubaix contre-enquête ». Ce qui se vit à Roubaix au quotidien n’est pas bien retransmis, ni dans l’un, ni dans l’autre de ces deux reportages. Maintenant si vous regardez la vidéo « Roubaix. Petit voyage chez les remplacés » vous commencerez à avoir une vue d’ensemble.
Revenons à l’émission et son focus sur la rue de Lannoy. Ne nous plaignons pas car la journaliste aurait pu ajouter : l’Epeule, la Fosse aux chênes … d’une manière générale les quartiers Nord, Est, Ouest. Trouvez-moi dans ces quartiers une seule boucherie traditionnelle où je pourrais acheter un travers de porc : je suis preneur.
Ce n’est pas juste de reprocher à Ophélie Meunier d’avoir opéré en caméra cachée. Chacun de nous sait pertinemment que les portes lui seraient restées fermées. Elle n’aurait pas pu filmer librement les dérives de l’islam radical. La vérité aurait été travestie.
Par contre, c’est irraisonnable de dire que Roubaix c’est l’Afghanistan à 2 heures de Paris. Mais dire qu’un remplacement de civilisation s’opère progressivement à Roubaix c’est un fait. Dans ma rue par exemple à l’Hommelet pratiquement tous les visages qui m’entourent ont changé depuis que j’y habite (1984). Ce qui était commun dans les années 1970 aux habitants de cette ville ne l’est plus dans sa globalité, au moins dans les quartiers Nord, Est, Ouest. A commencer par la religion, la langue, la mode, voire certaines valeurs morales je pense par exemple aux droits des femmes.
Toutefois, personnellement je ne vis pas la peur au ventre dans mon quartier transformé, simplement je constate. Certes je côtoie les incivilités et de nombreux points de vente de drogues mais je ne connais pas de zone de non droit. Jusqu’à présent je vais partout sans être importuné avec un bémol ce n’est pas la même chose pour une jeune fille un peu trop habillée à la mode européenne.
On nous oppose les bienfaits de la diversité c’est-à-dire ce qui nous rend plus ouvert, plus compréhensif. Voilà à mon sens où le bât blesse avec l’Islam radical qui entraîne toute une population vers moins d’ouverture, moins de compréhension, moins de tolérance. En 2014 au cours de la campagne municipale j’avais traduit le risque de la dérive par le dessin repris dans le texte.
Oui, il y a bien dans notre ville des intolérances consécutives à la pression religieuse islamique. Elles s’amplifient progressivement. C’est inquiétant. Quelques exemples vécus personnellement :
En 2006, à la suite d’une opération chirurgicale, l’assurance nous avait adressé une aide à domicile voilée « Fatima ». Elle connaissait très mal notre langue, je lui ai proposé des cours. Elle était enchantée et très réceptive. Elle venait de perdre son mari c’est son frère qui l’a chapeautée. Très vite il l’a sommée de stopper les cours.
Avant le covid, pour mon épouse au travail la poignée de main, ce simple geste de communication, et la bise n’étaient plus acceptées pendant le Ramadan par son collègue musulman.
Près de chez moi un homme dans la force de l’âge est allé chercher une jeune femme en Algérie. A son arrivée elle était toute pimpante, non voilée. Six mois plus tard elle portait le voile et progressivement je l’ai vu dépérir. Sa vie n’est pas très gaie me dit-elle, sa belle-famille l’étouffe. Une autre voisine a fait la une dans un mensuel avec son jilbab blanc. Elle a été répudiée, une semaine plus tard je la croisais dans Roubaix elle avait abandonné le jilbab pour une tenue européenne. Une liberté retrouvée.
En 2014 Baya qui travaillait chez nous avait peur pour moi, elle me disait après avoir vu le dessin au début du texte : « méfiez-vous vous allez avoir des ennuis vous savez moi je suis rejetée par une partie de ma communauté. Elle me reproche d’être une mauvaise musulmane parce que je ne veux pas porter le voile ».
En 2015 un ami musulman a voulu tenir un café restaurant dans le quartier Nord, il servait à ceux qui le souhaitaient de l’alcool. Des « barbus » comme il les nomme sont venus lui dire que dans ce quartier un musulman ne doit pas servir de l’alcool. Il a dû fermer son commerce pour avoir la paix.
En 2017, ma bijoutière, Grand-rue a été insultée parce qu’elle buvait de l’eau pendant le Ramadan. Depuis elle a fermé son commerce et a quitté Roubaix.
Je suis très proche d’un jeune père de famille musulman. Quand il vient manger à la maison mon épouse lui cuisine de la viande halal et on ne lui sert pas d’alcool. Par contre, quand il nous invite chez lui l’alcool est proscrit pour nous. Nous faisons des concessions, il n’en fait pas.
Abdel est venu travailler chez moi, il aimait la bière. Quand je lui donnais une canette avant de quitter la maison il la cachait pour ne pas être discriminé par ses amis musulmans. Ils n’apprécieraient pas, me disait-il.
Lors d’une fête de l’Aïd au parc du Brondeloire, il y a quelques années le journal Nord Eclair rapportait que le prédicateur avait demandé aux hommes d’inviter leurs épouses à porter le voile. La pression !
Aux dernières élections municipales, au bureau 123, la Présidente portait le hijab alors qu’à son poste tout signe religieux est interdit. Au repas depuis quelques temps, la mairie ne proposait plus dans ce quartier ni sandwich au jambon, ni de la bière pour l’accompagner ! Il a fallu batailler pour au moins retrouver le sandwich jambon au deuxième tour des dernières élections.
Hier une jeune musulmane qui vient d’ouvrir une pâtisserie à Roubaix me dit gratuitement : « Je n’aime pas vivre en France ». Mais alors pourquoi est-elle venue !
Récemment je visitais un musulman à la prison de Sequedin. Je hais les français me dit-il, je lui demande alors pourquoi il est venu en France. Pour vous em. . . . . . me répond -il !
Les personnes nommées ci-dessus (les prénoms ont été modifiés) n’ont rien à voir avec des terroristes, elles sont simplement victimes d’un communautarisme sous influence religieuse. Une influence telle qu’elle ne favorise pas le vrai vivre ensemble. Progressivement nous vivons côte à côte.
Il me semble qu’il faut être attentif à ces pressions religieuses et œuvrer tous ensemble pour qu’elles soient combattues. Des films tels que : « Le jeune Ahmed » des frères Dardenne ou « L’Adieu à la nuit » d’André Téchiné » font prendre conscience de ce qui peut advenir si on se laisse entraîner par la radicalisation d’une religion quelle qu’elle soit. Dans la religion musulmane par exemple la sourate 9 « AT-Tawbah (129 versets) interprétée au premier degré peut devenir une catastrophe pour des esprits manipulés verset 5 : « … tuer les associateurs où que vous les trouvez… », verset 23 : « Ne prenez pas pour alliés vos pères et frères s’ils préfèrent la mécréance à la foi ». Dieu merci les esprits avertis retiendront plutôt le verset 91 : « Allah est pardonneur et Miséricordieux ».
Quand j’étais jeune, le catholicisme était omniprésent à Roubaix. Les adeptes étaient sûrs de détenir la vérité, l’unique, la vraie. Dans cette communauté le divorce, l’avortement, l’homosexualité n’étaient pas acceptés. La pression familiale faisait que la brebis égarée était priée de revenir dans le rang. Il était inconcevable pour une femme d’aller à la messe sans se couvrir les cheveux, les représentants du culte catholique portaient des vêtements à signification religieuse et ils étaient nombreux à Roubaix. Vient alors l’avènement du Concile « Vatican II » ouvert en 1962 et fini en 1965. Un bouleversement, l’église reconnaît alors des éléments de vérité dans les autres religions, ouvre à la tolérance. En outre, le plus grand nombre de clercs, de curés, de religieuses quitte leur tenue religieuse dans l’espace publique. Leur foi cherche à se traduire par des actes en accord avec l’Evangile et non plus par du superflu vestimentaire.
Pour que tout le monde puisse vivre sans la pression d’une communauté dans le cas présent aujourd’hui musulmane, je rêve : que dans l’espace public les musulmanes finissent par retirer leurs vêtements à connotation religieuse, les hommes leur qamis pour les réserver à la pratique religieuse chez eux et dans les mosquées, que les boucheries de quartier proposent toutes sortes de viandes.
Si toutes les religions pouvaient se vivre chez soi dans l’intimité des cœurs nous vivrions mieux la fraternité. Un reportage comme celui de M6 Zone Interdite sur l’islam radical n’aurait plus raison d’être parce que l’Islam radical reculerait de lui-même.
Tout cela ne m’empêche pas d’aimer ma ville parce qu’elle a de belles propositions culturelles à offrir et surtout elle est peuplée de personnes simples au grand cœur, solidaires et je ne voudrais pas que son visage change parce qu’il serait abimé par un obscurantisme prospérant.
Pour la journée du patrimoine nous décidons d’aller visiter l’église Saint Joseph récemment rénovée et classée Monument historique à Roubaix.
A l’entrée trois agents de sécurité trient les citoyens. Seul ceux munis d’une invitation peuvent pénétrer dans l’église. Très étonné nous n’avons eu aucune information de ce type ni par la ville, ni dans la presse nous semble-t-il.
Au même moment arrive un couple muni de son invitation. Ce qui nous étonne c’est qu’il trouve ce sésame « des privilégiés » tout à fait normal alors que nous le savons militant écologiste. Voyez-vous naïvement nous pensions qu’il aurait défendu, d’un part, l’idée que la journée du patrimoine était mal choisie pour réserver le lieu à une sélection de citoyens, d’autre part, d’une façon générale dans l’esprit de la participation citoyenne n’est-il pas logique de militer pour que lors d’organisation de visite restreinte un registre soit ouvert afin que chaque citoyen et citoyenne du plus humble au plus puissant puisse s’inscrire à concurrence des places disponibles. Cette église n’est-elle pas justement la propriété de tous les citoyens, la sélection en pareil cas nous reste en travers de la gorge.
Le mercredi 21 octobre 2020 à 12h15, sur le parvis de l’hôtel
de ville à Roubaix, nous rendions hommage à M. Samuel PATY professeur
sauvagement décapité par un jeune homme totalement submergé par l’obscurantisme
religieux islamique.
Malheureusement, seulement une petite poignée de roubaisiens
et roubaisiennes étaient présents (100/150 y compris les officiels) pour une
ville de 96000 habitants c’est déplorable. Aucun roubaisien en qamis, 1 seule
roubaisienne en abaya, aucune femme voilée.
Nous ne sommes pas parvenus dans notre ville à faire corps
face à la barbarie, l’obscurantisme.
Toutefois, bravo à cette jeune femme en abaya venue dire
qu’elle pensait sincèrement que sa religion prônait la Paix et par là même
condamnait le crime perpétré par un islamiste. Mais les autres croyants en
l’Islam rigoureux, où étaient-ils ? Comment devons-nous traduire leur
absence ?
A l’orée de cette nouvelle année je vous invite à découvrir
ces vers écrits, mis en musique et interprétés par une jeune poétesse née à
Roubaix :
« Des ombres naissantes me transportent ailleurs Des armes tremblantes pointées sur la peur Des femmes enfants et des hommes amers Des illusions plongées dans mes vers
Merci immuable beauté, d’être là, d’être là Merci passagère clarté, d’être là Merci pour les élans de cœur, quand j’ai froid, quand j’ai froid Merci pour l’infini douceur, de vos bras
Humanité, quel est ton visage ? Un souffle d’air, a tourné les pages juste une caresse, un regard posé Ou cette ivresse nous fera tomber
Merci immuable beauté, d’être là, d’être là Merci passagère clarté, d’être là Merci pour les élans de cœur, quand j’ai froid, quand j’ai froid Merci pour l’infini douceur, dans vos bras. »
De Cléo Marie (site : « cleo-marie.com »)
J’ai eu le
plaisir d’écouter Cléo Marie dans les locaux de l’Association culturelle
« Le Camion » à Roubaix, 7 rue Archimède avec qui Cléo clôturait
l’année 2019.
Nicolas
Daquin avec son équipe sait mettre du sens à la culture accessible à
tous : peinture, théâtre, musique, poterie, chorale, exposition, atelier
de dessin à thème (quatre-vingt enfants viennent de créer « Les drapeaux
de promesses ».
Je vous
invite pour 2020 à vous approprier ce lieu. Si vous voulez être informés des
prochains évènements, il vous suffit de m’autoriser à leur transmettre votre
adresse e-mail.
Être dans
l’action positive plutôt que dans la résignation ce sont les vœux que je
formule pour tous à l’orée de l’année 2020.
« Merci
pour les élans du cœur » qu’ils soient vôtre tout au long de l’année qui
s’ouvre à vous.