Pour la journée du patrimoine nous décidons d’aller visiter l’église Saint Joseph récemment rénovée et classée Monument historique à Roubaix.
A l’entrée trois agents de sécurité trient les citoyens. Seul ceux munis d’une invitation peuvent pénétrer dans l’église. Très étonné nous n’avons eu aucune information de ce type ni par la ville, ni dans la presse nous semble-t-il.
Au même moment arrive un couple muni de son invitation. Ce qui nous étonne c’est qu’il trouve ce sésame « des privilégiés » tout à fait normal alors que nous le savons militant écologiste. Voyez-vous naïvement nous pensions qu’il aurait défendu, d’un part, l’idée que la journée du patrimoine était mal choisie pour réserver le lieu à une sélection de citoyens, d’autre part, d’une façon générale dans l’esprit de la participation citoyenne n’est-il pas logique de militer pour que lors d’organisation de visite restreinte un registre soit ouvert afin que chaque citoyen et citoyenne du plus humble au plus puissant puisse s’inscrire à concurrence des places disponibles. Cette église n’est-elle pas justement la propriété de tous les citoyens, la sélection en pareil cas nous reste en travers de la gorge.
Depuis les années 2000 je suis sollicité pour être tantôt président, tantôt assesseur au bureau de vote 123 à Roubaix. Par le passé, nous vivions ensemble dans le respect des convictions de l’autre. A midi la mairie nous apportait un choix de boissons : jus de fruit, eau, bière Kronenbourg et un choix de sandwich : thon, jambon, fromage.
A partir de 2015 la bière Kronenbourg fut supprimée. Cette année en 2021 le sandwich jambon est supprimé. Soyons honnête, il s’agit bien sûr d’un choix culinaire attaché à une religion.
Cette année pour la première fois notre présidente, au demeurant des plus sympathiques, porte l’hidjab, voile religieux porté par les femmes musulmanes. Il me semble que dans une république laïque, qui plus est dans un bureau de vote qui se doit d’être neutre, le port d’un signe religieux ostensible n’a pas sa place. Même si je n’en tire aucune fierté, en réaction vis-à-vis de nos édiles qui ne mettent aucune limite je me suis permis de fabriquer sur place une croix chrétienne et de la poser sur ma chemise. Pourtant, j’ai la conviction qu’ensemble musulmans et non musulmans il nous appartient de se fixer des limites. C’est la condition du vivre ensemble. Mais cela ne doit pas être à sens unique.
Dans les trois points que j’expose : nourriture, boisson, signe religieux on impose à autrui dans notre bureau de vote de vivre selon la culture ou les interdits religieux de l’autre. C’est précisément ce qui faut combattre car cela conduit au rejet de l’autre.
Devrais-je la semaine prochaine venir avec ma croix, mon sandwich, ma bière pour rester moi-même ?
Tant que l’on restera sur un schéma classique basé sur le pouvoir d’achat des roubaisiens il n’y a aucune chance de faire renaître une activité commerciale attractive, diversifiée digne de ce nom dans l’hyper centre de Roubaix. La plus grande partie des roubaisiens n’a plus les moyens de préserver le commerce d’autrefois en centre-ville.
Le seul remède c’est d’aller chercher le client aisé à l’extérieur en lui offrant de l’originalité, de la spécificité comme le fait par exemple Mac Arthur Glen. C’est dans cet esprit qu’un petit groupe de roubaisiens (nes) avait formulé dès 2014 une offre nouvelle qui prenait corps avenue Jean Lebas. Elle a été travaillée et présentée aux nouveaux élus après l’élection municipale 2014 par le collectif RAD « Roubaix Aujourd’hui et Demain ». L’offre n’a pas été retenue. Ils ont préféré la formule coûteuse de l’embauche d’un manager venu d’ailleurs. Ce dernier s’échine. Il bouche les dents creuses commerciales comme il peut pour en voir aussitôt une autre se former.
Aujourd’hui il faut se résigner, les grands centres commerciaux extérieurs se sont accaparés le petit commerce du centre-ville et le commerce en ligne entame les restes. Pour Roubaix, il restait une chance à saisir : capter la clientèle du musée La Piscine en prolongeant leur curiosité par une offre originale dans l’avenue Jean Lebas pour les conduire progressivement vers Mac Arthur et vice versa. Les offres basiques avenue Lebas, la multiplication Grand ’Rue et place de la Liberté des restaurants rapides, des administrations, des banques, des mutuelles, agences immobilières, des pharmacies ne peuvent pas intéresser ni la clientèle touristique, ni celle de communes voisines.
Pour en savoir plus aller sur le site :
Le 10/02/2021 suite à l’article « Nocibé va fermer son magasin de Roubaix »
Ouf ! Les prévisions, des prêcheurs d’apocalypse
climatique, prévues pour 2020 se sont avérées faussesau 1er
janvier 2021. Une bonne raison de rester optimiste et de se préserver des
prêcheurs de malheur climatique. Certes un jour les trompètes de l’apocalypse
sonneront mais ma conviction reste qu’elles seront la conséquence d’un
dérèglement de notre Univers : astéroïde géant, l’extinction de l’étoile
solaire … et sur ceci l’homme ne pourra rien. En attendant vivons sereinement.
Prévisions des prêcheurs d’apocalypse à l’horizon de 2020.
La réalité au 1er janvier 2021
1978 – Perspective on science/technology annonce 100% de progression des niveaux de CO2.
Réalité – seulement 23%. Pourtant la Chine qui prévoyait à la même époque de les réduire les a augmentés de 85%, l’Inde de 150%.
1986 – Greenpeace annonce le marasme économique des îles du Pacifique à cause du réchauffement climatique.
Réalité– l’archipel du Pacifique sud Tuvalu gagne du terrain et a connu une croissance économique sans précédent sur six ans.
1986 – L’EPA prévoit une élévation du niveau de la mer de 2 pieds (0,61m) pour la Floride.
Réalité – Inférieure à 4 pouces (0,10m).
1987 – James Hansen de la Nasa prédit un réchauffement mondial de 3° C d’ici à 2020.
Réalité – la température moyenne a augmenté de 0,44° C.
2000 – Dans The independente : en 2020 la neige sera une chose du passé.
Réalité – Mes petits enfants se régalent d’abondantes chutes de neige en Auvergne pour Noël. Madrid redécouvre la neige après 50 ans d’absence ….
2004 – Le Pentagone prévoit des conflits mondiaux pour cause de pénuries de ressources (l’eau notamment) causées par le changement climatique.
Réalité – Nous sommes seulement en guerre mondialement contre la Covid 19.
2008 – The Vancouver sun écrit : la neige sur le Kilimandjaro disparaîtra d’ici 2020.
Réalité – La neige est toujours là.
2009 – Allen J. Schaben écrit dans Los Angeles Times : les glaciers auront disparu du parc national des glaciers d’ici 2020.
Réalité – Ils sont toujours présents.
2013 – Lancaster Eagle Gazette écrit : Arctique libre de glace d’ici 2020.
Réalité – On n’y est pas encore.
etc.
etc.
Bien entendu, il reste nécessaire de garder de bons réflexes
écologiques pour notre planète mais j’ajouterai tout en étant pragmatique au
regard des enjeux économiques et sociaux.
Le mercredi 21 octobre 2020 à 12h15, sur le parvis de l’hôtel
de ville à Roubaix, nous rendions hommage à M. Samuel PATY professeur
sauvagement décapité par un jeune homme totalement submergé par l’obscurantisme
religieux islamique.
Malheureusement, seulement une petite poignée de roubaisiens
et roubaisiennes étaient présents (100/150 y compris les officiels) pour une
ville de 96000 habitants c’est déplorable. Aucun roubaisien en qamis, 1 seule
roubaisienne en abaya, aucune femme voilée.
Nous ne sommes pas parvenus dans notre ville à faire corps
face à la barbarie, l’obscurantisme.
Toutefois, bravo à cette jeune femme en abaya venue dire
qu’elle pensait sincèrement que sa religion prônait la Paix et par là même
condamnait le crime perpétré par un islamiste. Mais les autres croyants en
l’Islam rigoureux, où étaient-ils ? Comment devons-nous traduire leur
absence ?
J’ai été amené pendant les
vacances et la quatorzaine pour Covid 19 à échanger plus longuement avec mes
petits-enfants et des amis sur ce que j’appelle « le galimatias des Verts ».
Lors de ces échanges j’ai écrit le fruit de mes recherches. Il m’a semblé qu’il
pouvait être utile de le partager pour que chacun puisse mieux saisir combien
nous sommes instrumentalisés par le rouleau compresseur du politiquement
correct. D’autant qu’à mon grand étonnement alors que je recevais un jeune de
24 ans première année universitaire en poche aujourd’hui au travail, je fus
stupéfait qu’il n’avait aucune idée de ce que pouvait-être « La convention
citoyenne pour le climat ». Il surfait simplement sur l’air du temps des
bienfaits écologiques. Qui pourrait-être contre le jardin d’Eden !
Sur la convention citoyenne pour le climat.
Elle avait pour objectif de
chercher les mesures permettant de baisser les émissions de gaz à effet de
serre tout en prenant en compte les aspirations du peuple. D’entrée on
subodore que l’homme est le principal responsable des changements climatiques
constatés, il convient donc de chercher la parade. Notre Président lance la
convention sur ces bases : que veut le peuple, qu’elles sont les parades ?
Cent cinquante citoyens lambda
sont tirés au sort. Oui mais, les heureux élus peuvent accepter ou refuser et
ainsi de suite jusqu’à obtenir 150 volontaires. Si vous n’avez pas d’activité
ou si vous êtes « combattant écologiste » vous acceptez sachant qu’il
y a quand même un budget de 1.507.879 € de prévu pour vous dédommager (en
moyenne 10000 € par personne). Finalement, le panel retenu n’a plus rien à voir
avec le peuple de France dans sa diversité.
Presque autant de garants,
experts, professionnels … sont nommés pour orchestrer les débats aussi nos
citoyens se trouvent bien sous contrôle. En y regardant bien, on constate que
tout ce petit monde est déjà engagé dans le domaine environnemental, tous avec
une analyse apocalyptique de la situation de la planète. C’est le cas par
exemple pour M. Jean Jouzel fondateur du GIEC, Thierry Pech,Laurence
Tubiana, Cyril Dion tout sauf neutre. La sagesse aurait voulu que soient
invitées des personnalités qui n’ont pas la même vision des choses. Je
pense, par exemple : à Claude Allègre auteur de « L’imposture
climatique », « La Fausse écologie », Laurent Cabrol
auteur de « Si la France s’en sortait toute seule », Christian
Gérondeau auteur « CO2, un simple mythe planétaire, Maud Fontenoy auteur
des rubriques « A contre-courant » mais aussi l’instigatrice de la
fondation pour préserver les océans, Philippe Verdier auteur de
« Climat investigation ».
Maintenant si vous prenez le
temps de lire les 231 pages du rapport final, vous conviendrez qu’il s’agit
bien du travail d’experts engagés, le contraire de ce qu’on peut lire dans le
préambule : « … nous ne sommes pas des experts … ». Cerise sur le
gâteau la gouvernance est parvenue à transformer nos gaulois : la majeure
partie des propositions ont été adoptées à plus 90%, quelques-unes atteignent
le score de 99%. C’est une parenthèse « Soviet » qui en dit long.
Dans cette affaire j’ai
l’impression que notre Président en installant cette convention a fait sienne
la phrase de Talleyrand : « En politique, il n’y a pas de
convictions, il n’y a que des circonstances ».
La réalité de la vie va vite
reprendre le dessus. Le Président a déjà écarté ce qui aurait pu mettre dans la
rue non plus des Gilets jaunes mais cette fois des Gilets rouges. A savoir :
la réduction de la vitesse à110 km/h sur autoroute, l’instauration de nouvelles
taxes et l’introduction dans la constitution d’un texte qui placerait
l’environnement au-dessus de nos valeurs fondamentales. Aujourd’hui, la
ministre de l’écologie, Barbara Pompili, elle-même l’instigatrice de la loi en
2016 sur l’utilisation des néonicotinoïdes suspend leur interdiction pour
sauver la filière betterave. Demain si elle veut sauver les producteurs de
fruits de la Drôme et du Vaucluse elle autorisera certains insecticides. Après
demain elle trouvera que l’utilisation du glyphosate utilisé avec parcimonie tout
en protégeant l’opérateur ce n’était pas un produit aussi néfaste que cela. Les
entraves à l’esprit du chapitre ne manquent pas. Les derniers en date la remise
en question par M. Bruno Le Maire de la régulation du trafic aérien et par
notre Président l’abandon du projet d’une étude indépendante sur l’installation
de la 5G. « En politique, il n’y a pas de convictions, il n’y a que des
circonstances ».
Personnellement
Bien sûr, je ne conteste pas le
réchauffement climatique mais je conteste qu’il soit de la seule responsabilité
de l’homme. De tout temps notre planète a subi des évolutions climatiques bien
avant le développement économique, bien avant la multiplication de nos
populations.
Il y a bien des rubriques parmi
les propositions de la convention qui portent sens. Il n’est pas inutile de
s’en inspirer mais je deviens très réservé quand je vois le nombre de fois où
les préconisations comportent les mots : contraindre, (par
ex : les propriétaires), obliger (par ex : ceux qui possèdent
une chaudière au fuel), interdire, rendre obligatoire (par
ex : l’affichage des émissions de gaz à effet de serre dans les
commerces !), imposer (par ex : un % de vrac).
Pour combattre le réchauffement
climatique et réussir le développement durable, l’essentiel à mes yeux, nous
avons besoin d’un peu de raison surtout pas de sectarisme. De tout temps,
l’intelligence de l’homme, la science nous ont permis de sortir des pièges qui
nous étaient tendues. C’est dans ce sens qu’il faut investir et militer pas
dans le catastrophisme. Sur le plan humain il me semble utile d’instruire. La
planète ne peut pas nous donner plus que ce qu’elle possède aussi faut-il sans
doute œuvrer à développer dans le monde le planning familial. Sur le plan de la
science je m’étonne que l’on soutienne si peu le développement de la filière
hydrogène et que « les Verts » ignore dans leur propagande le projet
ITER à savoir la production d’électricité nucléaire sans pratiquement aucun
déchet dangereux.
Si les « Verts »
veulent développer la pauvreté en France qu’ils continuent à matraquer :
notre savoir-faire nucléaire, notre industrie automobile à propulsion essence
et diesel, notre industrie aéronautique, notre agriculture, nos éleveurs, toute
la filière Seveso (ces activités génèrent plus 1.500.000 emplois en France à
laquelle il convient d’ajouter les emplois induits). La sagesse voudrait que
l’on continue à améliorer sur le plan écologique toutes ces activités, ce que
font d’ailleurs nos industriels, mais sûrement pas de les détruire.
Si les « verts »
veulent saper un peu plus le moral des français qu’ils continuent à s’en
prendre aux arbres de Noël, au Tour de France, aux échevins de Lyon, aux
chasseurs responsables, aux delphinariums …
Sur la poussée des antispécistes déguisés en défenseur
des animaux
On m’a demandé comme cadeau
d’anniversaire de faire un don à l’association « L214 ». J’avais déjà
entendu parler de cette association qui défend en étendard « Le bien-être
animal ». Quel homme sage peut vouloir gratuitement du mal à un animal.
Mais la sagesse voulut également que j’approfondisse les actions de cette
association avant de lui donner le sou.
Je découvre alors que L214 est
devenue dans sa catégorie la plus riche de France depuis qu’elle est financée
par la fondation américaine Open Philanthropie Project elle-même financée par
George Soros, un milliardaire haut en couleur qui sait faire du fric.
Sous le couvert de la protection
animale, L214 milite pour une viande alternative cultivée. Mais en fait elle
est surtout en cours de permette à des opportunistes de créer une nouvelle
filière industrielle d’où l’arrivée de fonds d’organisations habillées de
philanthropie. S’ils arrivent à leur fin, il y beaucoup d’argent à la clé. La
souffrance animale n’est pas leur véritable problème me semble-t-il.
L’association L214 est très forte
pour jouer sur la sensibilité de bonnes âmes. Elle est spécialiste des images
chocs chassées dans des abattoirs de-ci delà en oubliant de dire que si des
incidents existent forcément, comme dans toute organisation humaine, ils sont
sanctionnés. Ce fut le cas dans l’abattoir d’Arcadie qui s’est vu suspendre son
agrément. Les abattoirs sont en réalité soumis à des règles sanitaires stricts.
A chaque abattoir est affecté un vétérinaire d’état qui doit vérifier que
l’animal a bien été étourdi avant la saignée. Chez Arcadie le vétérinaire n’a
pas fait son travail ce n’est pas suffisant pour jeter le discrédit sur toute
une profession. Notons que pour l’étourdissement obligatoire il y a une
dérogation en France pour l’abattage rituel casher et halal, L214 serait bien
avisée d’être plus active sur ce point. Je la trouve très conciliante sur ce
sujet.
Plus malsain encore pour moi est
la campagne de L214 vis-à-vis de la filière fromagère notamment avec leur
slogan : « Roquefort, souffrance d’origine garantie ». Quand
on prend le temps de lire le cahier des charges de « l’AOP roquefort » on
comprend que cette filière fromagère se préoccupe d’abord du bien-être animal. Elle
prend grand soin de ces brebis. L214 qui s’inquiète tant des brebis productrices
de lait ne semble pourtant pas très tourmentée par les loups qui les déciment dans
les pâturages de montagne. Bien-être pour les loups peu utiles, souffrance
animale pour les brebis nourricières : double langage !
Toutes ces associations qui
prétendent défendre le bien-être animal renient une nourriture animale pourtant
vieilles de 12000 l’an avant Jésus Christ. Cette nourriture est utile et
nécessaire pour l’humanité. J’encourage chacun à se procurer le livre de
Sylvie Brunel « Pourquoi les paysans vont sauver le monde » édition
Buchet/Chastel. Les sujets traités vont au-delà de l’élevage mais l’ouvrage
permet de se préserver des manipulations dont nous sommes l’objet sur le
bien-être animal et l’écologie façon jusqu’au-boutisme.
C’est clair pour ma part pas un
sou pour L214, je préfère de loin continuer à financer des associations qui
combattent la faim sur notre planète : CARE France, l’Univers … Vingt-cinq mille personnes meurent de faim
chaque jour dans le monde. Bien sûr même cette triste réalité qui concerne les
humains ne permet pas de se désintéresser de la souffrance animale. Il faut
aussi la combattre mais pas à la façon de L214 qui développe pour finir une
idéologie antispéciste à des fins industrielles profitables.
C’est d’ailleurs la même chose des
autres associations qui traitent du même sujet ou de ces trois patrons de la
tech qui lancent l’idée d’un référendum d’initiative partagée sur la cause
animale. Ils s’en prennent plus particulièrement à la chasse qui pourtant
participe à maintenir l’équilibre animal nécessaire dans notre environnement faute
de quoi vous verriez, par exemple, des hordes de sangliers envahir et détruire les
cultures céréalières. Là encore, si vous fouillez un peu vous voyez que nos 3
compères pensent aussi à investir dans des usines destinées à produire de la
viande créée en laboratoire.
Cette cogitation sur les écologistes
et les antispécistes me conforte dans l’intime conviction que toutes les
idéologies menées jusqu’à l’extrême sont à fuir.
Dans le cadre du « Budget participatif de Roubaix 2020 »
l’animateur du collectif « Roubaix Aujourd’hui et Demain »
a proposé la mise en valeur du fronton Art-déco
de l’entrée originelle des bains municipaux, rue des champs.
Parmi les 124 projets, la ville en a retenu 31, dont le nôtre. Ils sont maintenant proposés aux votes des citoyens et citoyennes de la ville et à tous ceux qui y travaillent dont les étudiants.
Si vous trouvez nôtre projet intéressant, sans attendre, soutenez-le par votre vote en lui attribuant le maximum de }cœur~ possible. Faites-le dans la foulée de la lecture de ce message et en tout cas avant le 15 octobre date de la clôture des votes.
Comment: vous tapez sur Internet « budget participatif.ville-roubaix.fr ». Le projet dans la rubrique culture porte le n°29 et vous lui attribuez le nombre de }cœur~ que vous souhaitez dans la limite de 5. Si vous ne disposez pas d’Internet vous pouvez aller voter en mairie de quartier, dans les centres sociaux ….
Plus de détails sur le projet.
Mise en valeur du fronton Art-déco de l’ancienne entrée de la piscine 26, rue des Champs.
L’entrée du musée La Piscine se trouve rue de l’Espérance ; de ce fait l’entrée originelle de la piscine municipale, 26 rue des Champs est ignorée des visiteurs du Musée. Elle est pourtant remarquable de par son architecture et son histoire.
Le projet introduit au « Budgetparticipatif de Roubaix 2020 » consiste par un jeu de miroir à remettre en lumière de l’intérieur du musée ce magnifique fronton.
Les panneaux miroirs en inox incassable du type Aplico ou John Steel seraient disposés de façon esthétique sur la façade de la salle des sports juste en face du fronton de l’entrée d’origine de la piscine.
A l’intérieur du musée un panneau masque actuellement le passage vers la rue des Champs. Il serait retiré pour laisser apparaître la porte vitrée. Nous pourrions alors admirer sans sortir du musée, grâce au reflet du miroir, le fronton originel. Un panneau didactique rappellerait que cette entrée est celle conçue à la construction en 1932 par l’architecte Albert Baert, franc-maçon notoire qui ne s’était pas privé d’introduire des symboles de la franc-maçonnerie dans l’œuvre : colonnes, fresques de petites pyramides ainsi que l’idée du passage à la lumière en partant d’une entrée sombre ouverte sur un couloir lumineux de par sa véranda plein ciel.
Je ne sais pas si vous avez pris le temps de lire les 100 propositions de M. Delbar et les 100 changements proposés par M. Amrouni. Nos candidats ne parlent plus d’engagement c’est effectivement plus sage.
Dans les deux cas les roubaisiennes et roubaisiens ne peuvent que se réjouir. Ils vont vivre heureux si les programmes sont tenus. Les projets au fond sont très proches, on joue surtout avec des synonymes :
Amrouni Delbar
Education
5. Remettre à niveau les bâtiments III/B. Déjà entrepris pour 20 M€
8. Accompagner II/B/1. Partenariat d’excellence
Sécurité
57. 12 policiers M. en + I/B/2. 15 policiers M. en +
70. Ouvrir des mini-déchetteries I/C/4. Créerons de micro
déchetterie
40. Rendre le marché de l’épeule piéton ! Sauf erreur le marché est piéton.
46. Zéro déchet II/B/3. Zéro déchet
Démocratie : des grands mots
92. Parlement des citoyens VI/3. Démocratie parti. Active
Commerce
82/4. Soutenir, accompagner V/D. Amplifier la dynamique
Financement
90/100. Dépenses généreuses V/I. Bonne gestion
Danger, Il manque les recettes
M. Amrouni n’a pas de passé mais il s’est entouré « d’un passé politique » comme conseillers : M. Dubois, M. Vandierendonck, M. Renard qui nous ont laissé sur notre faim, surtout en fin de mandat, quand ils étaient aux affaires. Il en rajoute en intégrant dans sa nouvelle liste des anciens qui ne nous ont pas laissé d’inoubliables souvenirs positifs : M. Carlier, Mme Fondroide, M. Olszewski. M. Belin… Pourra-t-il faire du neuf avec des anciens de la politique ?
M. Delbar, le 15 mars 2014, nous avait égrené 136 propositions. Prenons l’engagement 1/2/1 : il est repris en 1ère page en ces termes, « Baisser de 20% le taux de la taxe d’habitation pendant la durée du mandat… ». Pour ce qui me concerne le compte n’y est pas. Je suis seulement à 5% de baisse contre 20% promis !
Dans les deux programmes je n’ai rien retrouvé sur l’aménagement de la zone de L’Union commencée en 2007 et toujours pas terminée. Un peu fort me semble-t-il. Pensent-ils s’en désintéresser totalement ?
Plus grave me semble-t-il, aucun d’eux n’aborde le problème du communautarisme qui progresse dans le mauvais sens à Roubaix. La femme qui porte l’hijab est au centre du problème. Cette semaine je suis allé au laboratoire pour une prise de sang avec mon épouse, dans la salle d’attente nous étions 10 à un instant « T ». Sept femmes étaient en hijab, mon épouse en short (chaleur 24°) avait droit au regard sévère et dédaigneux de l’homme en face d’elle. Par contre, dans les manifestations culturelles : marché de la mode, musée La piscine, cinéma… la proportion est inverse et encore. Certes, il y a bien de temps à autre un simple voile, l’hijab est lui tout à fait exceptionnel. Est-ce que c’est cela le vivre ensemble ! J’aurais aimé retrouver dans les programmes des pistes d’actions pour créer « le vivre ensemble à la française » surtout au profit des femmes. J’aurais aimé rencontrer dans les programmes « éducation » la mise en place de structures pour l’apprentissage de la langue française des adultes d’origine étrangère., On parle de moins en moins le français dans les quartiers Nord, Est, Ouest. L’apprentissage de la langue devrait-être une obligation, c’est le début de la « Liberté » qui conduit à « l’égalité » et facilite la « Fraternité » entre nous.
Pas facile de se positionner le 28 juin. Toutefois, à titre personnel, je n’aurai que le choix entre le bulletin blanc et celui de M. Delbar car comme j’ai déjà pu l’écrire je n’accorde jamais mon vote à une liste qui s’allie avec la gauche extrême/l’extrême gauche ou l’extrême droite. Je fuis tout ce qui a conduit à la dictature ou pourrait y conduire.
Un ami m’adresse le billet écrit par la journaliste Mme Catherine NAY. Elle écrit avec beaucoup plus de talent que je ne pourrais le faire ma pensée du moment.
« Dans ce concert des belles âmes », permettez-moi d’ajouter qu’il est illusoire de penser que demain le commerce ne reprendra pas ses droits, nobles ou pas. Aujourd’hui, presque tout le monde dit : il faut produire français mais quand les mêmes français passent au stade d’acheteur ils regardent d’abord le contenu de leur porte-monnaie et c’est bien normal au moins pour les plus pauvres.
L’entreprise tourquennoise « Teuf Confection » vient en pleine pénurie de masques d’en faire l’expérience. Elle achète nous dit la presse régionale pour 10000 € de toile aux normes pour fabriquer des masques mais voilà la main d’œuvre lui coûte 50 centimes la minute, pour les mêmes fabriqués en Tunisie le coût de confection est de 8 centimes la minute. La conclusion est simple depuis que la pénurie d’approvisionnement s’amenuise notre entrepreneur voit son carnet de commande fondre comme glace au soleil.
Quand je pense que, partant d’un bon sentiment, certains d’entre nous verraient bien les salaires augmenter en France de 20, 30, 50 % ! Sans doute veulent-ils permettre aux pays d’Asie et du Maghreb de nous inonder encore plus à petits prix en comparaison du coût d’un même produit fabriqué en France. Covid 19 ou pas vous n’y changerez rien du moins au niveau de la France. Si les États-Unis d’Europe, c’est à dire une seule nation souveraine constituée de 27 pays, pouvaient voir le jour peut-être serions nous assez puissants pour mettre des limites, imposer nos normes, bloquer certaines importations ou les taxer en fonction des intérêts de l’Union européenne. Nous l’oublions trop souvent, aujourd’hui si l’Union européenne était souveraine elle serait la première puissance commerciale du monde devant les Etats-Unis et la Chine.
Pour une ville propre, le combat à Roubaix: Préambule – Combat perdu après trois mandature.
Concernant la propreté de la cité, chacun constate malheureusement l’échec des 3 derniers Maires. Cliquez sur le lien ci-dessous pour la suite de l’article